Après une première édition à Trébeurden en 2023, l’IIG posera ses valises pour une seconde édition entre la Saline royale d’Arc-et-Senans et la galerie du Carré Claude Nicolas. Au programme : lectures, conférences, expositions et concert, dans le but « d’habiter poétiquement la Terre », confie Régis Poulet, président de l’IIG.
En quête d’une harmonie
Le fondateur du terme, Kenneth White, expliquait en 1989 que la volonté de protéger l’environnement justifiait la création de ce mot. D’autant plus que cet universitaire précisait : « il m’était toujours apparu que la poétique la plus riche venait d’un contact avec la terre, d’une plongée dans l’espace biosphérique, d’une tentative pour lire les lignes du monde ».
« [Les] fins des sciences, des arts, de la philosophie sont les moyens de la géopoétique, qui a pour but de fonder un monde où le rapport entre l’homme et la nature connaîtrait une harmonie nouvelle », développe Régis Poulet. De multiples sujets seront ainsi présentés au cours de ce dernier week-end de septembre. Le dimanche 28 septembre (14h00), lors d’une conférence, Gilles Clément traitera par exemple d’un sujet passionnant : « Notre jardin – la planète -, vu par les oiseaux ». Tout un programme est proposé !
Pour plus d’informations : https://www.institut-geopoetique.org/fr/
Possibilité de se procurer des billets sur : https://www.helloasso.com/associations/institut-international-de-geopoetique/evenements/secondes-rencontres-geopoetiques-kenneth-white?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTAAYnJpZBExc3NnMTZhdEJPOXE0TDI1RAEeQ0gKIll3FSDwmITqe4mPOI6LzGHOcOPYTLD0kjChHfSQcYhsHnkM59ETLns_aem_1FulWqnucWOP2Ghl93H8aA
