Crédit: YQ

Face à la chute du nombre de commerces en zone rurale (21 000 communes en France ne bénéficient d’aucun commerce soit 62% contre 25% en 1980) et pour permettre aux initiatives privées comme publiques de se lancer, cet accompagnement financier se divise en plusieurs points.

weekend gourmand du chat perché Dole

Pour l’acquisition de locaux qui nécessitent des travaux relatifs à la remise en état, le gouvernement propose une prise en charge du déficit d’opération à hauteur de 50 %, dans une limite de 50 000 €. La subvention est destinée aux porteurs de projet publics, parapublics ou aux SCIC. Concernant l’agencement des locaux et l’acquisition du matériel professionnel, ce nouvel accompagnement garantirait une prise en charge à hauteur de 50 % des dépenses d’investissement dans une limite de 20 000 €, avec un bonus de 5 000 € pour les projets exemplaires en matière de développement durable ou d’innovations sociale ou sociétale. En complément de ces deux aides, le futur commerçant peut également bénéficier d’une enveloppe de 5 000 € maximum pour des prestations d’accompagnement qui devront au préalable être validées par un comité technique. Ces aides peuvent être cumulées avec d’autres dispositifs.

Pour les commerces non-sédentaires, l’État prévoit une subvention fixée à 50 % des dépenses d’investissement (essentiellement l’acquisition d’un véhicule professionnel de tournée), dans une limite de 20 000 €. Avec toujours en complément, une aide de 5 000€ maximum pour des prestations d’accompagnement.

Les bénéficiaires privés doivent disposer de l’appui d’une collectivité territoriale pour obtenir cette subvention.

La rédaction