Un territoire agréable à vivre en 2050
Lorine Gagliolo, vice-présidente en charge de la transition écologique l’affirme « je veux que ma fille vive dans un territoire résilient face aux risques climatique quand elle aura mon âge ». L’élue d’une trentaine d’années personnalise sa politique écologique !
Le Plan Climat est un document réglementaire obligatoire. Il doit définir les objectifs stratégiques et opérationnels en vue de s’adapter au changement climatique.
Un territoire à énergie positive en 2050
Le document prend en compte les remarques et avis des habitants de Grand Besançon suite à la consultation publique qui s’est déroulée du 15 mai au 12 juillet 2024.
4 objectifs stratégiques déclinés en 40 actions
Penser autrement, « c’est faire d’une nécessité une opportunité de transformation écologique de notre territoire et de notre organisation ». Pour Lorine Gagliolo, Grand Besançon doit devenir « le territoire des solutions, sobre et contributeur aux enjeux de santé avec une organisation adaptée à l’urgence écologique ».
Mieux préserver, « pour aménager le territoire en garantissant son habitabilité de long terme afin de pouvoir continuer à y vivre et y travailler ». On y parle de planification du projet de territoire qui puisse garantir le bon fonctionnement des activités.
Mieux vivre, « c’est intégrer d’autres manières de nous déplacer, d’habiter, de consommer pour agir face aux bouleversements écologiques tout en améliorant notre environnement immédiat et notre qualité de vie au quotidien ».
Mieux produire, « c’est enfin décarboner nos cycles de production : des ressources nécessaires à la fabrication des biens jusqu’à la collecte, le réemploi et la valorisation des déchets ».
Le Plan Climat de Grand Besançon Métropole a suscité peu de débats au Conseil communautaire. Il a été adopté à l’unanimité. Les objectifs sont louables, il reste à concilier croissance économique facteur de créations de richesses, d’innovations, d’investissements, de ressources fiscales et d’emplois avec une nécessaire sobriété énergétique et la protection de notre environnement. Les solutions ne sont pas binaires !