Pontarlier. Droits humains : Amnesty International organise plusieurs manifestations à Pontarlier

Marché solidaire, concert, exposition, pièce de théâtre, conférence… Chaque année, Amnesty International propose plusieurs événements autour du 10 décembre, date d’adoption de la Déclaration universelle des droits de l’Homme.

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Jean-Michel Trimaille jouera durant le marché solidaire ©Amnesty International

Depuis plusieurs années, le groupe Amnesty International de Pontarlier organise au mois de décembre un marché solidaire en lien avec les Droits humains et la solidarité internationale. Rendez-vous les 7 et 8 décembre dans la salle Toussaint Louverture du théâtre Bernard Blier à Pontarlier, de 10h à 18h. Différentes associations seront présentes pour présenter leurs actions : Avana qui oeuvre pour Madagascar, Repair pour l’accueil et l’intégration des migrants, Louverture-Haïti et Volia Ukraine. « Les bénéfices récoltés par la vente des produits seront à destination des pays concernés », précise Joël Guiraud, membre de l’antenne locale d’Amnesty International.

Exposition, concert, théâtre et conférence

Sur place, une exposition d’affiches de films sur les droits humains sera à découvrir. Jean-Michel Trimaille apportera « un peu de douceur dans ce monde de brutes », selon Joël Guiraud, en présentant son spectacle Racines bleues le 8 décembre à 15h.

Dans la salle Jean Renoir du théâtre Bernard Blier, la troupe amateure adultes S’Ignoret d’Héricourt jouera sa pièce Politiquement clownesque le 7 décembre à 20h30. Comptez 15€ pour les adultes et 12€ pour les étudiants et scolaires.

À ce week-end s’ajoute également une conférence Pourquoi l’Histoire a-t-elle ignoré le rôle des femmes ? le 9 décembre à 18h30 salle Morand pour comprendre les raisons de l’invisibilité des femmes dans divers domaines tels que la peinture, l’écriture ou les sciences.

« Sensibiliser les gens aux Droits humains »

L’objectif de ces différentes manifestations ? « Sensibiliser les gens aux Droits humains qui se perdent avec le fracas quotidien », détaille Joël Guiraud, avant de poursuivre : « On n’a pas d’autre solution que de rabâcher, pour faire prendre conscience que ces droits doivent faire partie de leurs préoccupations ».