La Banque Populaire solide comme la Citadelle de Besançon

Chaque année, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté valorise son engagement au service des acteurs du territoire. Elle organisait sa traditionnelle soirée des partenaires le 15 juin dans le cadre somptueux de la Citadelle de Besançon.

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Nés de la collaboration entre la Citadelle et la BPBFC, les jardins thématiques de la Citadelle offrent un nouveau cadre historique et de fraîcheur aux visiteurs du site majeur de Vauban ©YQ
Une banque coopérative ancrée dans son territoire

Que l’on soit particulier, professionnel, entrepreneur ou institutionnel, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté est attentive à chaque projet pour participer à l’attractivité de son territoire.

En matière de culture, d’environnement et de sport, la BPBFC contribue à soutenir tous les acteurs. C’était tout le sens de la soirée organisée à la Citadelle de Besançon.

Les jardins de la Citadelle

Sous l’impulsion d’Alexandre Arnodo, le directeur du site majeur de Vauban, la Citadelle de Besançon n’a de cesse de se réinventer. Premier lieu de visite de la région Bourgogne Franche-Comté, la Citadelle va prochainement (le 8 septembre 2023) inauguré un Musée de la Résistance et de la Déportation totalement réinventé pour poursuivre ce lieu de mémoire aux nouvelles générations.

Il fallait aussi offrir aux visiteurs un nouveau parcours de visite et s’imaginer l’un des milliers de soldats de Louis XIV protégeant la capitale comtoise. Du plus profond puits de France (117 mètres) au moulin à roue en passant par les jardins potagers, la Citadelle était une ville dans la Ville. Elle devait permettre aux soldats de tenir un siège de 3 mois.

La Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté a choisi d’accompagner la Citadelle de Besançon dans sa volonté de créer des jardins thématiques comme autant de réponses aux messages véhiculés par les différents musées du site. Jardin potager, jardin des Simples, jardin d’ombrages, ce nouveau lieu offre aussi une réponse de fraîcheur dans cet environnement minéral.

François de Laportalière a pris ses fonctions de Directeur Général de la Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté le 1er juin 2023. Agé de 53 ans, il a fait une grande partie de sa carrière à la Caisse d’Epargne. Plus provincial que parisien, le nouvel homme fort de la BPBFC a le sens du terrain ©YQ

La BPBFC a contribué à hauteur de 60 000€ à l’élaboration de ces jardins. François de Laportalière, le nouveau Directeur général de la Banque Populaire a inauguré les jardins le 15 juin en présence de tous les partenaires de la Banque.

Une action au service du Fonds de dotation du Centre Pompidou

La Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté œuvre au-delà de sa région en matière de contribution à l’art. Elle a ainsi dévoilé un dispositif d’accueil d’artiste en résidence, aux côtés de Laurent Le Bon, le Président du Centre Pompidou.

Dans ce cadre, Laurent Le Bon et François de Laportalière ont accueilli Isabelle Le Minh, photographe et artiste contemporaine. Elle explore l’essence et les limites de la photographie. Son travail est une passerelle fructueuse entre son univers artistique et celui de la Banque.

Elle exposera cet été le fruit de cette collaboration unique au FRAC de Besançon et au Musée des Beaux-Arts de Dijon. A l’automne, son œuvre rejoindra les collections permanentes du Centre Pompidou à Paris.

Un ancien double vainqueur du Tour de France à la Citadelle

Le réseau des Banques Populaires intervient dans le domaine du sport. Tout le monde connaît les trimarans qui écument les compétitions de voile à travers le monde. Mais la BPBFC accompagne aussi des compétitions régionales. Bernard Thevenet, vainqueur de la Grande Boucle en 1975 et 1977, est originaire de Saône-et-Loire. Il organise des épreuves dans son département avec le soutien de la Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté.

Les Banques coopératives sont avant tout des établissements de proximité avec leurs clients. A une période où le localisme prend tout son sens, elles remplissent pleinement leur rôle de financeurs des territoires.

Yves Quemeneur