Wienerberger soutient Jules Ribstein pour les jeux paralympiques de Paris 2024

Le leader mondial des solutions en terre cuite est un acteur très engagé dans une politique RSE basée sur le respect de la planète, de ses collaborateurs et de ses clients. C’est au nom de ces valeurs que Wienerberger France s’implique et soutient Jules Ribstein, triple champion du monde de Paratriathlon et sélectionné pour les JO de Paris 2024.

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le 19 juin, Jules Ribstein triple champion du monde de paratriathlon et sélectionné pour les JO 2024, a échangé longuement avec les salariés de la tuilerie Weinerberger de Lantenne Vertière dans le Doubs ©YQ

L’entreprise autrichienne fondée en 1819 à Vienne est présente dans 28 pays, et emploie 19 000 personnes à travers le monde dans ses 216 usines de proximité. Le groupe autrichien a acquis en 2008 la plus ancienne tuilerie de France créée il y a 360 ans à Lantenne-Vertière dans le Doubs.

Une convention de mécénat en accord avec les valeurs de l’entreprise

Comme le souligne Gabrielle Roy, Responsable communication de Wienerberger France « Il s’agit bien d’une action de mécénat et non de sponsoring. L’entreprise ne met pas en avant ses produits mais son savoir-être et ses valeurs humanistes ».

La relation avec Jules Ribstein s’est construite naturellement. Originaire de Strasbourg où Wienerberger possède plusieurs sites de fabrication, le champion triathlète s’inscrit dans la mission voulue par la Fondation du Sport français : développer l’insertion sociale et professionnelle par le sport et créer les conditions d’implication dans le sport des particuliers et des entreprises.

Réaffirmer la santé et la sécurité dans l’entreprise

Il s’agit d’un axe fort de la politique RSE de Weinerberger. Le partenariat avec Jules Ribstein porte les valeurs sociétales de l’entreprise au travers de cet athlète de haut niveau. Il véhicule les valeurs de dépassement de soi et d’engagement, quelles que soient les difficultés.

La collaboration de Wienerberger et de Jules Ribstein trouve également une cohérence avec l’ambition sportive du triathlète alsacien. En soutenant l’objectif de médaille d’or aux JO 2024, l’entreprise démontre également son implication dans de nombreuses infrastructures construites pour les JO de Paris.

Jules Ribstein, un athlète hors du commun
Jules Ribstein, soutenu par Weinerberger pour une médaille d’or aux JO paralympiques de Paris 2024 ©Weinerberger

Numéro 2 mondial dans sa catégorie, Jules Ribstein est âgé de 36 ans. Il a été et est toujours passionné par le triathlon, un sport d’exigence qu’il pratique depuis l’adolescence. Amputé de la jambe gauche en 2008 à la suite d’un accident de moto, il est champion du monde et d’Europe en 2019, 2021 puis 2022. « Participer aux JO paralympiques pour gagner », Jules Ribstein est la preuve vivante de la capacité de l’Homme à surmonter ses épreuves, de croire à son avenir. Pour l’entreprise qui le soutient, c’est l’expression d’un engagement quotidien aux côtés de ses salariés.

Wienerberger une entreprise accueillante

Jérôme Chassigneux, le directeur du site de Lantenne-Vertière, connaît les mêmes vicissitudes que toutes les entreprises « nous avons des difficultés à recruter, notamment dans les métiers de la maintenance ». Pour inciter de nouveaux collaborateurs à rejoindre l’entreprise, le dirigeant compte sur ses actions en faveur des valeurs environnementales, sociétales et humaines. La démarche environnementale vise à la décarbonation des process de fabrication, l’éco-circularité  et le respect de la biodiversité dans les carrières d’argile.

Au plan sociétal, les valeurs de l’entreprise sont portées par le développement individuel au service du collectif. Il s’articule autour de la santé/sécurité au travail des salariés et le rôle d’acteur ancré dans son territoire. A titre d’exemple, le site industriel de Lantenne Vertière est à proximité immédiate de la carrière d’argile, une démonstration grandeur réelle de l’économie circulaire.

A équidistance de Marnay et Saint Vit, de Dole et de Besançon, à proximité de l’A36, le site de Lantenne Vertière offre un cadre de travail idéal pour les 155 salariés qui pourront suivre la réussite de Jules Ribstein en 2024. Certains auront la possibilité d’aller le soutenir à Paris.

Yves Quemeneur

 

La toiture n’est pas un malheur

Pourtant le langage courant l’associe avec des drames qui nous tombent dessus.

« Laisser une ardoise » Dans le débit de boissons, le montant de la consommation était noté sur une ardoise pour celui qui ne payait pas cash. Le client qui disparaissait sans payer « laissait une ardoise au commerçant ». L’ardoise était l’ancêtre des sociétés de crédit avant d’être la couverture des toitures bretonnes.

« Se prendre une tôle ». L’expression fait également référence à la toiture. Le mot tôle ou taule étymologiquement identique, évoque une plaque de métal dur qui peut faire très mal.

« Quelle tuile ». Dans le langage familier, l’expression évoque un accident fortuit, imprévu…comme une tuile qui tombe d’un toit.

Quant aux chaumières qui brûlaient facilement du fait des toits en chaume…

Tuile, ardoise, tôle ou chaume, quel que soit le matériau il protège les habitants des intempéries, du froid, de la pluie et de la neige.