Anthony Messika à gauche avec Camille Rousselet, président du SIEL

Il est plus aisé de mesurer l’ampleur de l’histoire du SIEL et les enjeux qui l’accompagne lorsque l’on est natif du secteur. C’est en partie ce qui a motivé Anthony Messika à reprendre la direction du syndicat, après le départ en retraite de Pierre-Albert-Vionnet. Après deux mois de transmission aux côtés de son prédécesseur, le natif d’Oye-et-Pallet a pris pleinement ces fonctions le 1er février dernier.

Géomètre de formation, Anthony Messika a d’abord rejoint les services de l’État dans l’ingénierie public avant d’être nommé en 2008 directeur des services de la communauté de Communes des Lacs et Montagnes du Haut-Doubs en tant que directeur des services de l’assainissement et des déchets. « J’ai côtoyé le syndicat et Pierre-Albert a de nombreuses reprises lorsque le SIEL et la communauté de communes avaient des projets en commun. Ici l’éventail de responsabilités et missions est beaucoup plus large. La conduite et création de projets me motive énormément et la prise de décision est très rapide car nous sommes en relation directe avec les élus. », confie le nouveau directeur accompagné de huit employés.

« L’objectif est d’internaliser un maximum de compétences et de conserver un savoir-faire. Nous sommes une petite équipe mais très polyvalente. », poursuit le directeur. Parmi les objectifs à court terme pour Anthony Messika, la phase 3 du parc solaire de Rochejean, où le nombre de trackers devraient passer de 13 à 22 d’ici à la fin de l’année. (Voir dossier de la semaine).

M.S